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 Leon, le poète [fini]

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AuteurMessage
Leon Hopkins
« L'ombre du poète_.

Leon Hopkins

Messages : 15
Date d'inscription : 16/03/2010
Age : 73

Leon, le poète [fini] Vide
MessageSujet: Leon, le poète [fini]   Leon, le poète [fini] Icon_minitime1Mar 16 Mar - 11:23


Leon Hopkin ¬ prédéfini
Leon, le poète [fini] 33pehdeLeon, le poète [fini] 33pehdeLeon, le poète [fini] 33pehde
feat Louis GarrelLeon, le poète [fini] Nf67h4
Je suis un élève.Du haut des mes 17 ans, je suis un poète chez les têtes de linottes. En cas de pépin, veuillez envoyer un mot à mon père, à Paris.

Sinon, je suis un né moldu sortit du chou un vingt-huit Mai de parents franco-anglais. Ah ! Je suis un dissident.

Leon, le poète [fini] Louis16


Biographie
Leon, le poète [fini] 33pehdeLeon, le poète [fini] 33pehdeLeon, le poète [fini] 33pehde

Une enfance, la ville des lumières

La légende veut que le beau jeune homme soit né à Paris. Quelle légende allez-vous me demander. Celle de Léon bien sur. Un être aussi bizarre que lui, tout le monde le connait, et forcément, différents contes naissent à son sujet. Pour le poète étrange qu'est Léon, quelle ville de naissance aurait mieux été que Paris? Malheureusement, ce n'est pas vraiment exact. Ses parents se sont rencontrés à Paris, alors que mademoiselle Lily était en voyage. Une fois de retour en Angleterre, elle a voulu finir ses études. Elle était déjà enceinte. Une fois qu'elle eut accouché, elle finit effectivement ses études, laissant l'éducation de son enfant à ses parents, tous les frais qu'il pouvait réclamer étant financer par le père. Celui-ci ne l'ayant pas reconnu, le bébé prit le nom de sa mère, mais celle-ci lui donna le prénom de son grand-père paternel. Léon Hopkin. Quand le miniature Léon, un peu trop gâté il faut l'avouer, eut six ans, son père décida de le récupérer. Il faut croire que la période difficile de la tendre enfance ne l'avait pas trop tentée, mais maintenant qu'il avait un vrai fils, il voulait le faire grandir à ses côtés. L'instinct paternel dirait-on.

Bref. C'est à six ans que le petit Léon alla habiter chez son père qui prit alors la peine de le reconnaître. Il fallait avouer que sa vie à Paris était plutôt agréable. Ils avaient une grande maison dans les vieux quartiers de Montmartre, que demander de plus? Quoi de plus typique? Un peu cliché, je vous l'accorde. Mais il est de ces vies qui semblent réglées comme du papier musique. En en parlant, à la même époque, Léon apprit le violon et le piano. Il se débrouillait plutôt bien, il faut l'avouer. Peut-être parce qu'il y passait des heures une fois qu'il rentrait chez lui. Il se mit aussi à la
guitare mais ceci sans prendre de cours et se débrouilla aussi. Il trouva la chose un peu trop facile pour y accorder vraiment de son temps et de sa concentration. Quand il n'aurait plus rien d'autre à faire peut-être. Et ce n'était malheureusement pas près d'arriver...

Le petit garçon qu'était Léon lors de son primaire était assez intrigant pour les adultes qui l'entouraient. Il ne semblait jamais près à sortir de cette période que tous les gosses ont un jour et qui consiste à questionner sur tout. Le problème, c'est que personne n'arrivait à trouver de réponse aux questions de Léon. Le petit garçon trop curieux ne se décourageait jamais et ne pouvant se contenter d'un "parce que", il allait tout chercher par lui-même. La bibliothèque de son père contenait toutes sortes de bouquins de sciences, de philosophie, de dictionnaires, en français, en anglais, en russe, en allemand. Léon ne parlait que les deux premières langues assez couramment.

Il avait passé les six premières années de sa vie à parler anglais alors que sa grand-mère lui distillait quelque notion de la langue française qu'elle trouvait si jolie à travers du Baudelaire et du Verlaine. Non voyons, elle n'était pas folle. N'empêche, que ça fut bien utile à Léon quand il arriva en France à 6ans. Peu des garçons de son age savaient réciter l'albatros avec autant de facilité. A vrai dire, aucun ne connaissait simplement le poème. Bref, n'était pas là son avantage, il résidait surtout dans le fait qu'il pu rapidement apprendre le français. Son père continuait à lui parler anglais de temps en temps aussi ne perdait-il pas sa maîtrise de cette langue. Et pendant son temps libre, il réussit à lui arracher quelques notions de russe.

Le petit Léon semblait vouloir tout apprendre, tout connaître. Il aurait parlé toutes les langues du monde si on avait bien voulu les lui enseigner. Il avait un don sans aucun doute pour les langues. Il prit dès le CM1 des cours de chinois par correspondance. Pourquoi chinois? Parce que c'est plus marrant. Plus compliqué pour être honnête, et il n'avait jamais aimé les choses trop simples.

Vous devez pensez qu'avec un tel train de vie, il ne voyait plus sa famille du côté british, mais détrompez-vous, il y passait la totalité de ses vacances. Sa mère était toujours heureuse de le voir revenir. Après avoir fini ses études, elle s'était trouvé un homme et lors des vacances d'été entre le Cm1 et le Cm2 de Léon, son ventre était gonflé comme un ballon et le petit squatteur qui y logeait promettait d'être une superbe blonde au visage doux à l'image de sa mère.

Un amour, entre Paris et Londres

Il l'a rencontrée en Cm2. On est encore bien naïfs à cet age et on croit qu'on a tout notre temps devant nous. Elle est arrivée à Paris l'année avant que lui ne s'en aille. Il avait prévu, après son primaire en France, de faire ses années de collège en Angleterre. Et si dès qu'il la rencontra, il regretta cette décision, il ne revint jamais dessus. Quand il faisait des choix, il les respectait. Aussi, plutôt que de passer son année à ruminer bêtement, il profita tant qu'il pouvait de cette aubaine. Il profita de la présence de la jolie Emma avec plaisir. Il n'avait que onze années derrière lui, et il savait qu'il en aurait encore beaucoup devant lui. Et il ne voulait pas les passer sans elle. Les évènements étranges qui se produisirent lors de son année de Cm2 alors que ses pouvoirs commençaient à se manifester, elle en su tout. Il ne lui cachait rien, et ils s'inquiétaient tous les deux. Cette sur-dose de paranormal qu'aucun d'eux n'était capable d'expliquer finit par s'éclaircir en aout, quand il reçut chez sa mère une lettre étrange. Une école des plus bizarre se proposait de l'accueillir. Il n'en fut à vrai dire pas bien surpris et rassura sa mère.

Emma était venue en vacances avec lui comme elle le ferait désormais dès que possible. Elle fut rassurée qu'une réponse faussement logique vienne se proposer pour toutes leurs questions. Elle l'encouragea à vrai dire. Si il allait devoir passer son année loin d'elle, dans un internat, elle l'imaginait déjà lui envoyer des lettres via des chauves-souris enchantée... Quoi, c'est pas des chauve-souris que les sorciers utilisent?

C'est avec elle qu'il fit ses premiers pas au chemin de traverse. Ils découvrirent tous les deux d'un air ébahi cet univers stupéfiant qui s'offrait à eux. Il découvrirent tous les deux Lula. Lula était une petite chouette à l'air adorable qui pépiait dans sa cage comme si elle avait réclamé de l'aide. Emma eut tôt fait de se précipiter vers elle. Entre les crapauds et les rats, elle préférait mille fois cette petite boule de plume. Et quand elle comprit que c'était ladite boule de plume qui allait lui apporter les lettres du garçon qu'elle aimait, quoi de plus génial?
Ils avaient acheté Lula et plus rien ne comptait. La mère de Leon du le traîner à travers les chemins de traverse pour qu'il accepte d'acheter le reste de ses fournitures scolaires. Il dénicha une baguette en bois de cèdre avec un crin de licorne à l'intérieur. Légère et assez courte, il la rangeait facilement. Elle était jolie, à son goût. Il eut aussi le droit d'acheter quelques livres tous plus farfelus les uns que les autres, et avec Emma, ils prirent un plaisir fou à les lire pour la fin des vacances.

Au final, il la voyait dès qu'il n'était plus à l'école. Quand il rentrait pour les vacances, elle l'attendait déjà chez sa mère. Le père de Leon venait parfois lui rendre visite à cette époque et ils passaient quelques semaines tous ensemble. Le petit garçon adorait ça... mais ça ne dura malheureusement que trois ans. Trois années qu'il savoura comme elle le méritait. Lula n'arrêtait pas de faire des aller-retour entre la France et l'Angleterre mais ne s'en plaignait que rarement. Il fallait croire que la minuscule chouette aimait voyager. Elle apportait en France quelques poèmes d'amour, des mots doux et des sentiments, et elle en revenait avec un petit dessin et une longue lettre soignée. C'était une époque fantastique jusqu'à ce triste jour de Mai.

Alors que Leon était à sa quatrième année et prévoyait son retour à la maison avec plaisir, il reçut un message affolé de sa mère. Il y avait un problème, un problème avec Emma. Il s'inquiéta, évidemment, et avant même que quiconque ait pu réagir, il avait trouvé un balai et s'était enfui par lui-même pour retourner chez sa mère. Il y fut le lendemain. Ce qu'elle lui annonça ne lui arracha pas un mot, pas une larme. Il se tu, tout simplement. Il se tut jusqu'à la fin des vacances d'été où il ne prit la parole que pour répondre à sa mère qui lui avait demandé d'un air inquiet s'il était prêt à retourner à l'école.


Une adolescence, au château de Poudlard

Il avait voulu retourner à l'école pour sa cinquième année. Mais si beaucoup voulurent lui poser des questions sur son étrange absence de la fin de l'année précédente, aucun n'obtint de réponse. Ce tournant vers les professeurs que sa mère avait mit au courant, il n'eurent que le droit de savoir qu'un de ses proches était mort. La légende du poète pouvait repartir de plus belle, sa vie ayant été marquée d'un évènement tragique. Certains le trouvaient un peu caricatural, mais il ne faisait pas exprès. Il était devenu morne et terne, au fond, il ne parlait pas beaucoup plus avant.

Avant la tragédie, Leon avait toujours été quelqu'un de souriant. On le trouvait assez mystérieux, et on se demandait souvent s'il était de ce monde. Il n'allait jamais faire la fête, il préférait écrire. Son talent pour les poèmes était reconnu par la plupart et certains jeunes sorciers qui voulaient se lancer dans la musique le demandaient comme parolier. Il ne refusait jamais, trop ravi d'écrire. Tout le monde le voyait soit comme un génie, soit comme un fou. Lui se voyait comme un peu des deux je crois bien... Fou d'elle et génie des mots, il aurait aimé passer toute sa vie dans cette autre dimension où il l'imaginait partout à ses côtés, où il prévoyait sans cesse leurs prochaines vacances. Ce n'était qu'une amourette de collégien diront certains. A quatorze ans, on ne sait pas encore aimé, me direz-vous peut-être. Lui vous répondra qu'on ne décide pas de l'âge qu'on a quand on rencontre l'Amour de sa vie.

Bref, après la tragédie, il se montra moins souriant. Il écrivait toujours, sans s'arrêter, il acceptait toujours d'écrire pour ceux qui venaient lui demander. On le trouvait toujours soit fou, soit génial... mais il n'y prêtait plus guère attention. Du moins pendant sa cinquième année. Pendant la sixième, il décida de faire un peu plus attention à ceux qui l'entouraient. Il découvrait que le monde n'était pas réduit à lui et Emma, et cela l'intriguait. Il s'ouvrait au monde mais ne semblait plus capable de ressentir quoi que ce soit, si ce n'était un peu d'intérêt. Joies, et tristesses, il n'en voulait plus. Étrange pour un poète me direz-vous.

Maintenant qu'il est en septième année, Leon a toujours un œil sur les autres. Il étudie leur comportement et le transforme en quelques émotions qu'il retranscrira. Il n'a plus d'émotions qui puissent l'inspirer alors il a besoin de se retourner vers les autres. Il aimerait pourtant pouvoir ressentir à nouveau, parce qu'il a peur de perdre son talent si cela continue. Car quoi qu'on en dise, un talent n'est jamais inné.
environ 1920 mots.


Paramètres
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Comment avez-vous connu le forum ? Avez-vous été parrainé ? Je me suis auto-parainné avec Luke Callaghan =D
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Sorrow Noam Black
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Sorrow Noam Black

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MessageSujet: Re: Leon, le poète [fini]   Leon, le poète [fini] Icon_minitime1Mar 16 Mar - 20:07

Yes j'ai le privilège d'être le premier. Je ne vois rien à redire ici, pas de coquille, tout est parfait comme on pouvait l'attendre de lulu.

Néanmoins, et je suis très très fatigué, je n'ai pas vu ou alors j'ai passé outre, la maison ou groupe choisi. Pourrais-tu éclairer ma loupiotte?
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MessageSujet: Re: Leon, le poète [fini]   Leon, le poète [fini] Icon_minitime1Mar 16 Mar - 23:28

Serdaigle, désolé, j'ai oublié de préciser =p
et merci <3
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Sorrow Noam Black
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Sorrow Noam Black

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MessageSujet: Re: Leon, le poète [fini]   Leon, le poète [fini] Icon_minitime1Mer 17 Mar - 21:03

Yata j'ajoute ca de suite
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MessageSujet: Re: Leon, le poète [fini]   Leon, le poète [fini] Icon_minitime1

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